Principals of girls' schools in Paris at the beginning of the 20th century
What authority over the knowledge transmitted?
Abstract
This article examines the capacity for action of headmistresses in French private schools in the first decades of the 20th century in the field of women's education. This study, which focuses on Paris, helps to shed light on the role of these authority figures in the transformation of the knowledge available to women at a time when their social space was being reconfigured. Analysis of the school archives and the Académie de Paris' supervisory documents, as well as commercial brochures and the press, shows that these women were business leaders, responsible for the smooth running, development and success of their institutions. Benefiting from a regulatory framework that was much less restrictive than that of public education, they managed to modify the educational offer for women, both in terms of the content taught and the qualifications prepared, in order to better respond to the new expectations of their clientele. By adopting an intersectional approach that takes into account gender, social class and religion, this research reveals, however, that their actions are still marked by gender norms and that they do not eliminate all the boundaries that distinguish male and female knowledge.Downloads
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